Les magouilles et plans de Pensee, toujours intrigant xD
bon donc c'est toi qui commence alors ? :3

Je suis sur que ça viendra x) Les envies meurtrières de tes persos seront pleinement assouvies xD
Bon je prépare aussi un truc pour Camelia !

Cassia.
Qu'aurait-elle donné pour rester dans sa villa sur les bords du Vésuve au lieu de se trouver dans cette soirée organisée en l'honneur du fils de l'empereur! Rentrée il y a peu de Rome, au grand bonheur de ses parents, Cassia n'était pas en grande forme, ni véritablement heureuse de se trouver là. Il fallait dire que depuis ce voyage éprouvant, ce rhume qui l'avait jusqu'à là maintenue allongée ne la quittait pas! Les yeux légèrement rougis et le teint pâle, sans doute faisait-elle honte à sa famille. Qu'importe, son père avait choisi de l'emmener afin de la présenter à certains jeune hommes notoires venus pour l'occasion. Pour cela, elle s'était envelopée d'une veste chaude qui couvrait intégralement ses épaules et dans laquelle elle se réfugiait des fraîcheurs nocturnes. Voilà comment la jeune femme s'était retrouvée au coin de l'une des cheminées de la villa de l'hôte, bavassant courtoisement avec une dame d'un certain âge, amie de son père et femme d'un dignitaire étranger. Par chance, grâce à ses études, son grec était quasiment parfait, lui permettant une conversation aisée. Allongée sur des canapés recouverts de soieries, Cassia se trouvait presque bin, si ce n'est cette légère fatigue qui l'accompagnait dans chacun de ses mouvements.

Un peu plus tard dans la soirée, son père Cassius vint la chercher. Lui lançant un regard sévère pour lui faire comprendre qu'elle devait faire bonne attention, il la mena jusqu'à une petite salle dont la terrasse donnait sur la mer où se trouvait quelques dignitaires romains...


[Je ferai venir Milo un peu plus tard ;)]

[Mais... Moi, c'est Milo que j'attendais pour jouer Aulus ! xD Bon, il semblerait que je vais devoir patienter un peu ! :p

Bon, ne manque plus que Luci', maintenant ! :D ]

[J'aurai bien approché Caeso de ton perso, Luci', mais... est-ce que Marcus compte se rendre à la fête ? ]

[Ah, d'accord, je vais attendre dans ce cas, j'avais bien envie de faire souffrir ton perso !   ]

Et moi qui me plaignait qui manquait d'esclaves ! Merci Mimi !

Inscrite, Mousse! :D
Je vous laisse continuer le Rpg, je dois y aller, je me lève assez tôt demain matin! Bisous et bonne nuit! ♥

Je serai là une bonne partie de l'après-midi demain, j'incrusterai Milo à la soirée :']

Dernière modification par transparente (2014-12-22 22:35:39)

Question bête, étant donné que ma fille est une esclave qui sert son maître, quelqu'un veut être son maître?

Moi ça me va   Même pas peur

Je ne savais pas trop commencé mais j'ai cru comprendre qu'il était à un festin à table lol

La vie d'esclave n'était pas facile tous les jours, qui a déjà dit que c'était facile d'ailleurs? C'était une vie que la demoiselle ne souhaitait à personne. En même temps les esclaves sont classés dans une catégorie inférieures, probablement plus inférieure qu'un excrément, c'est pour vous dire. Cependant Leana possédait quelque chose en plus: l'espoir. La jeune femme espérait, elle ne rêvait pas d'un monde utopique car cela était impossible mais elle espérait qu'un jour tout cela change, que son maître décide de lui offrir sa liberté. Même si la jeune fille était libre, elle ne refuserait pas pour autant de lui rendre service de temps en temps étant donné qu'elle l'appréciait même si parfois il ne se levait pas toujours du bon pied, cela arrivait à tout le monde. Le plus grand espoir de Leana était que son maître prend un jour le trône qui lui revient de droit. Peut-être n'était-il pas légitime mais elle s'en moquait. Comment vous dire...elle n'appréciait pas le frère de ce dernier? Pourquoi? Ce dernier se croyait au-dessus de tout le monde et comme on ne lui a probablement rien refusé de sa vie il se comportait comme un enfant gâté. Voilà comment elle voyait le frère ou demi frère peu importe de son maître. Leana observait beaucoup. Aujourd'hui ils étaient tous conviés à un banquet pour assister à la venue du "fils prodige". Enfin en tant qu'esclave "invitée" est un bien grand mot. Mais Leana ne se plaignait pas tant qu'elle pouvait veiller sur son maître. Qu'il n'y ait pas de malentendu, Leana veut sa liberté, elle éprouve uniquement de la sympathie envers son maître peu importe dont la façon dont il peut s'adresser à elle quand il est de mauvaise humeur.

La jeune femme était une esclave qu'on utilisait plus comme une servante qu'on ne regardait pas, qu'on ne respectait pas. Il ne fallait pas oublier qu'il fallait bien de la main d'oeuvre pour préparer les festivités et servir les convives.


L'esclave gardait le sourire en toute circonstance. Il y avait deux catégories de personnes: les personnes qui buvaient et qui avait une descente qu'on ne souhaiterait pour rien au monde la remontait, ces derniers se donnaient en spectacle dansant différemment, c'était probablement les plus impolis et repoussants et enfin les personnes assises qui attendait que cela se passe et semblait mourir d'ennui.

La jeune esclave se contentait de porter de la nourriture pour servir. Elle n'était pas le moins du monde maladroite bien au contraire...Cependant, elle fut volontairement bousculée par une personne de haut rang qui semblait mépriser les gens de son "espèce", ce dernier était ivre sans nul doute. C'est alors qu'elle se retrouva à terre ayant fait tomber la nourriture. Bien entendu un tel événement avait installé un silence pesant tous les regards braqués sur elle la traitant d'incapable et j'en passe.

Leana était une fille forte, elle encaissait sans rien dire et se contentait de ramasser ce qu'elle avait causé.

Son maître n'avait sans doute pas vu la scène mais elle avait la certitude que cet événement risquait de remonter jusqu'à lui et elle avait peur de lui faire honte. Peut-être devrait-elle s'expliquer avec ce dernier?

(oups pourtant j'ai tout lu et je n'avais pas bu le "se lever", c'est ça quand on veut faire vite et qu'on lit en diagonal pour donner une réponse qui au final ne sert à rien, je vais modifier tout ça de suite. Je sais que c'est le plus gentil des deux mais te connaissant je me suis dit que tu ne savais pas faire un perso gentil sans qu'il devienne tordu après, c'est l'expérience qui parle lol Etant donné que c'est une esclave/servante je la vois mal en tant que vrai invité donc revoilà mon rp corrigé)

La vie d'esclave n'était pas facile tous les jours, qui a déjà dit que c'était facile d'ailleurs? C'était une vie que la demoiselle ne souhaitait à personne. En même temps les esclaves sont classés dans une catégorie inférieures, probablement plus inférieure qu'un excrément, c'est pour vous dire. Cependant Leana possédait quelque chose en plus: l'espoir. La jeune femme espérait, elle ne rêvait pas d'un monde utopique car cela était impossible mais elle espérait qu'un jour tout cela change, que son maître décide de lui offrir sa liberté. Même si la jeune fille était libre, elle ne refuserait pas pour autant de lui rendre service de temps en temps étant donné qu'elle l'appréciait même si parfois il ne se levait pas toujours du bon pied, cela arrivait à tout le monde. Le plus grand espoir de Leana était que son maître prend un jour le trône qui lui revient de droit. Peut-être n'était-il pas légitime mais elle s'en moquait. Comment vous dire...elle n'appréciait pas le frère de ce dernier? Pourquoi? Ce dernier se croyait au-dessus de tout le monde et comme on ne lui a probablement rien refusé de sa vie il se comportait comme un enfant gâté. Voilà comment elle voyait le frère ou demi frère peu importe de son maître. Leana observait beaucoup. Aujourd'hui ils étaient tous conviés à un banquet pour assister à la venue du "fils prodige". Enfin en tant qu'esclave "invitée" est un bien grand mot. Mais Leana ne se plaignait pas tant qu'elle pouvait veiller sur son maître. Qu'il n'y ait pas de malentendu, Leana veut sa liberté, elle éprouve uniquement de la sympathie envers son maître peu importe dont la façon dont il peut s'adresser à elle quand il est de mauvaise humeur.

La jeune femme était une esclave qu'on utilisait plus comme une servante qu'on ne regardait pas, qu'on ne respectait pas. Il ne fallait pas oublier qu'il fallait bien de la main d'oeuvre pour préparer les festivités et servir les convives.


L'esclave gardait le sourire en toute circonstance. Il y avait deux catégories de personnes: les personnes qui buvaient et qui avait une descente qu'on ne souhaiterait pour rien au monde la remontait, ces derniers se donnaient en spectacle dansant différemment, c'était probablement les plus impolis et repoussants et enfin les personnes assises qui attendait que cela se passe et semblait mourir d'ennui.

La jeune esclave se contentait de porter de la nourriture pour servir. Elle n'était pas le moins du monde maladroite bien au contraire...Cependant, elle fut volontairement bousculée par une personne de haut rang qui semblait mépriser les gens de son "espèce", ce dernier était ivre sans nul doute. C'est alors qu'elle se retrouva à terre ayant fait tomber la nourriture. Bien entendu un tel événement avait installé un silence pesant tous les regards braqués sur elle la traitant d'incapable et j'en passe.

Leana était une fille forte, elle encaissait sans rien dire et se contentait de ramasser ce qu'elle avait causé.

Son maître n'avait sans doute pas vu la scène mais elle avait la certitude que cet événement risquait de remonter jusqu'à lui et elle avait peur de lui faire honte. Peut-être devrait-elle s'expliquer avec ce dernier?

[C'est pas grave, Mimi ! ;) ]
[Oh, Transpa, celui que j'attendais ! xD ]



Aulus était arrivé à Pompeï avec son détestable demi-frère quelques heures avant le début des festivités en son honneur. Il trouvait toujours amusant de voir à quel point une ville sous la domination de son père pouvait être heureuse de le recevoir. Certes, il était le futur empereur alors les villes voulaient être dans ses bonnes grâces tant qu'il était encore jeune, de ce point de vue, c'était tout a fait compréhensible. Puis, Aulus aimait faire la fête et s'amuser. 

À une certaine heure de la soirée, un servant vient lui annoncer que les gladiateurs qui allaient concourir le lendemain avaient été exposés. Comme il était fan de l'arène depuis qu'il savait tenir une épée, il remercia l'homme de l'avoir avertit et se dirigea vers les estrades et promontoires sur lesquels on faisait tranquillement monter et exposer gladiateurs après gladiateurs. Le reconnaissant, les gens s'écartèrent de son passage pour le laisser passer à sa guise de long de "l'exposition". Il cherchait quelque chose d'intéressant. Il vit un triplet de nains en armure, une femme couguar, un homme avec une barbe descendant jusqu'au sol... Aulus savait bien que cette étonnante diversité serait à attirer les foule mais, là, on se croirait plus comme au cirque... Ne prêtant nullement attention aux autres phénomènes qu'il vit, il s'arrêta devant le promontoires d'un jeune homme à la chevelure noire. Ses muscles tout badigeonnés d'huile le firent ricaner, moqueur. Son préparateur avait dû ambitionné car le gladiateur lui paraissait plus graisseux qu'autre chose... Puis, bon sang, la nuit était tombée depuis un moment, seul les flammes de l'impressionnant feu de camp pouvaient encore faire briller ces traces d'huiles. Aulus savait qu'il était très courant de faire cela et que même certains patriciens s'enduisaient d'huile pour se mettre en valeur mais ça l'avait toujours fait rire.
-Je t'ai déjà vue te battre, ailleurs, pas ici, dit-il, et je paris que tu seras mort d'ici la fin des festivités !
Quelle prédiction obscure lui diriez-vous mais il trouvait ça amusant.

Caeso.
Au bout d'un moment, être près du feu lui sembla beaucoup trop chaud. Il se détourna donc de la source de chaleur et entra, dans son champs de vision, un petit cercle de gens mécontents qui semblait entourer quelque chose ou quelqu'un qu'il ne voyait pas. Un peu curieux, il s'approcha et les gens se tassèrent pour le laisser passer. C'est alors qu'il l'a vit. Étendue dans la poussière en train de ramasser la nourriture qu'elle avait fait tombée.
-Je ne comprend pas pourquoi mon père ne t'a pas offerte à mon frère, clama-t-il, il aurait trouvé bien plus amusant que moi de te punir après une pareille bêtise !
Il fronça les sourcils et soupira. D'une main, il se massa la nuque.
-Nettoie ça et jette la nourriture, personne n'en voudra. Va chercher un nouveau plateau à la place, lui ordonna-t-il sévèrement.
Puis, il se détourna. Que c'était ennuyeux ! Il n'éprouvait même plus de plaisir à punir ou maltraité des esclaves ! Il devait entré dans la crise de la vingtaine ou, sinon, que lui arrivait-il donc ? Tout lui semblait si lent, si long, si fade. Il fit craquer sa mâchoire. Bon sang, il était à Pompéï, ici, il devrait bien trouver quelque chose apte à le divertir !